I will kill him. (finish)

Je m'avançais craintive vers l'engin de metal, qaund mon pied frôla un objet au sol, je me penchais prudement et decouvrit une cassette-audio, que je mis en route...

Effrayée, je ne pouvais plus penser, et encore moins réfléchir. Je m'imaginais en pleine panique, tremblante de fièvre et hurlant à la mort au moment ou le dernier tic se ferait entendre. Et déjà, à l'idée même de tout bonnement exploser ! Et ainsi de répendre tout mon être dans cette pièce close, je sentait un profond dégout m'envahir. Dégoût qui s"était déjà manifesté auparavant...

Ma tête tournait, je crut que me coeur s'était arrêtais de battre un instant, et qu'il se mit à battre des reccords de vitesses ensuite. Je me sentais vide, des toutes émotions, mes larmes ne coulait plus, mon visage était crispé et je ne parvenais plus à articuler un seul mot. J'aurais voulu hurler ! Hurler de toutes mes forces, mais je n'en avait aucunes. Une masse se fit autour de moi ; j'étais dans un état second. Je ne pouvais plus respirer, ma vision peu à peu se troublait, je ne percevais plus de son distinct et mes jambes me paraissaient tout à coup lourdes, si lourdes...

Je longeais les murs, dans l'espoir de trouver la faille, de frôler le défault, un morceau qui serait délibérément habîmé, plus gros, qui n'aurait pas le même aspect au toucher que le reste de la surface... Je devais avoir fais cinq fois le tours, sans jamais rien trouvé, je commencais à deséspérée quand tout à coup...

" La police sur les lieux, affirment que personne n'est entrée par effractions, d'ailleur aucuns des temoins présent n'ont vus quelqu'un entré ou sortir de la résidence. la causes des déces reste encore inconnue, les deux corps attendent d'être autopsié demain à la premiere heure. "

Je remarquais que la pièce était très humide, que le mur était mouillé et formait de minuscules goutellettes. En m'approchant du mur face à moi, je remarquer que les gouttes se rejoignaient toute en un point. Disons qu'elles étaient attirés par quelque chose.

Un pied au sol, je me sentais comme Amstrong sur la lune. Plus de temps à perdre, la bombe exploserais d'une seconde à l'autre. Je me mis à courir, vite, très vite ! Le décor était floue, à moins qu'il ne s'agisse de ma vue, je n'avais aucune idée de l'endroit ou je me trouvais et d'ailleur je n'en avait cure ! La bombe était loin déjà, je pleurais, de joie ou de peine ? je ne pouvait plus courire, à nouveau mes jambes me firent faux bon ! Et je m'étaler au sol, encore une fois...