| | | Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) |  |
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+2Catsoon L. Sawyer Lust B. Bremen 6 participants | | Auteur | Message |
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Invité
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| | Sujet: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Mar 1 Sep - 11:04 | |
| LIVE OR DIE, MAKE YOUR CHOICE. LET THE GAME BEGIN ;  
s y s i p h e . l u c a s . k a h .
ARE YOU LUCKY ? : Un marteau d'une taille démesurée mais étonnemment léger.
HURRY UP, TIME IS RUNNING OUT :
Lentement, il écarquille ses paupières lourdes de sommeil. Puis les referme. Un regard vif et clair a suffit. Hauteur sous plafond impressionnante. Une blancheur immaculée vient d'imprégner son cerveau. Il n'ignore pas ce qu'elle signifie, et il ne compte pas s'aveugler. La pureté et le rien sont autour de lui. Absence de couleurs. Absence de lumière. Absence de vie. Quelque part, forcément, un échappatoire. Peut-être tout proche. Peut-être.
Est-ce son coeur ? Les pulsations d'un sang rageur et déterminé ? Non, les battements qui résonnent à ses oreilles proviennent de plus loin. De l'autre bout de la pièce. Un tic-tac étouffé. Le rythme d'une bombe. Une bombe si ronde et si noire qu'on dirait un accessoire de théâtre. Elle ne va pas exploser, impossible. Sisyphe est venu jusqu'ici pour se confronter à la réalité et au rêve tout à la fois. Et il sait bien qu'il est un sujet de choix pour le maître de ces lieux. Il ne se priverait pas de quelqu'un comme lui. Alors pourquoi une bombe ?
Sisyphe s'approche. Rationnellement parlant, cette boule de feu noir ne lui fera pas de mal. Elle doit simplement exploser d'ici... Le compteur affiche 95 secondes. Très bien. Le temps d'élaborer environ cinq raisonnements mathématiques. Sauf qu'en l'occurence, il y a une règle à ne pas perdre de vue. 1 + 1 font toujours deux. Donc si la bombe reste bombe, et que lui reste lui-même, ils n'entreront pas en collision. Quand à savoir ce qu'il va advenir de lui-même, il ne s'inquiète pas trop. En toute situation, Sisyphe plie comme le roseau, sans jamais se casser. Le but premier de tout ça est donc de s'assurer que la bombe reste bombe.
Une surface polie, noire, qui fait remonter à sa surface d'étranges images. Derrière son regard voilé, il y a le portrait d'une vieille lampe de chevet. Une lumière jaunâtre qui éclaire une chambre vieillotte. Et sur la table près du lit, une lampe ressemblant à une bombe. Mais Sisyphe n'est pas assez abruti pour se laisser aller aux souvenirs. Aucun flash-back ne le fera perdre de vue son objectif. Même quand la mémoire de la chambre de sa mère vient frapper son esprit si fortement. Non, ceci est une époque révolue.
Tiens, un marteau. Quel étrange marteau. Absolument pas conforme aux normes de sécurité. Bien trop fin et léger pour être manié avec tranquillité. Un enfant pourrait s'en servir, n'importe qui. Quel étrange outil. Dans quelle usine a-t-il bien pu être fabriqué ? Est-ce une pièce unique, à la manière des épées elfiques dont lui parlent les romans ? Est-ce réellement un marteau ?
Marteau : Outil constitué d'une tête en fer et d'un manche, que l'on utilise pour cogner quelque chose.
Voilà à peu près la définition que son esprit agile vient de lui rappeler. Et clairement, l'objet en face de lui correspond à toutes ces caractéristiques. Si c'est un marteau, il faut donc cogner quelque chose. Quelques rouages se mettent en place dans l'esprit de Sisyphe. Cogner... Cogner quelque chose de si étrange qu'on aurait besoin d'un marteau léger, prêt à s'envoler au moindre mouvement... Un peu comme le lancer de marteau, en somme.
Il tient la solution. Cette hauteur sous plafond si impressionnante. Qu'on ne peut atteindre qu'en la frappant de loin. Sürement. Il ne peut s'agir que de ça. Un oeil au compteur. 43 secondes. Et pourtant, Sisyphe reste assis. A quoi bon se lever et tenter, alors qu'il reste quarante précieuses secondes pour observer, et confirmer ou non sa théorie ? Aucune gravure sur le plafond, aucun décor, rien qui prouve qu'il soit lourd et impénétrable. Une blancheur plus claire que celle des murs de la pièce. La lumière filtre par là-haut. Et soudain il la voit. La marque dans un coin du plafond. Comme deux petites empreintes noires. Un plafond si fin et transparent qu'on voit les pieds des gens au-dessus.
30 secondes. Sisyphe a le choix désormais. Se confronter à cet étrange château, au risque de périr, mais avec à la clé un pactole honnête. Ou bien attendre ici, et voir ce qu'il advient de lui. Frôler la mort, peut-être. Et cette idée de mort le fait bondir sur ses pieds. Quels idiots, quels purs imbéciles, que ces gens qui attendent et acceptent la mort ! Est-ce qu'ils n'ont donc pas compris que le monde n'est que présent ! Pas de passé, pas de futur, jamais ! On est à là, à l'instant présent ! Et rien à voir avec Carpe diem, oh non. Simplement, passé, présent et futur ne font qu'un, toujours. Le temps a atteint une apogée, où tout restera figé à jamais. Trop de règles, trop de contraintes et d'objectifs opposés. Quand tout le monde aura pris conscience de cela, alors seulement on pourra aviser. Et lui est là, pour croire en ses idéaux, seuls.
Marteau à quelques pas de lui. Sa main fine et translucide vient s'en saisir. Sisyphe a les bras d'une fille, ou d'un athlète étrange. Des muscles délicats mais dessinés. Le marteau en main. Un peu d'élan. un geste fluide du bras. Le sifflement de l'air. La paroi qui s'écroule. A quelques centimètres de la tâche noire. Tâche qui s'éloigne, et une tête se penche à travers le trou.
"Joli. À ta place je désamorcerai la bombe. Bouton noir à droite"
Quelques pas vers l'objet rond et noir. Le compteur qui affiche cinq secondes. Un clic. Plus de compteur. Un bouton qu'il n'avait pas vu auparavant. Illusion de l'esprit. Noir sur noir, impossible à décrypter. Noir sur noir. Invisible. La vieille lampe de chevet noire trônait sur un fond blanc. Beaucoup plus oppressant. Surtout quand le visage de sa mère venait s'encastrer dans la lumière. Un visage émacié et terne. Une voix rocailleuse, pour lui rappeler que seul la clairvoyance sur le monde pouvait nous sauver. Des pupilles fragiles qui le transpercaient et s'élargissait quand elle répétait sa phrase fétiche "Ne jette pas de pierre aux intellectuels. Tu en es un sans le vouloir mon fils".
Ce noir. Le noir du cadre entourant le portrait familial. Un père, une mère, et leur enfant unique. Sisyphe. Le nom de cet homme condamner à rouler un tonneau vide. Un père que l'enfant n'aura jamais vu. Qui a fui passé, présent et futur pour une vie sans limites, à l'autre bout de la planète. Une mère bêtement professeur de mathématiques. Il a écouté ses cours dans un amphithéâtre. Et il a décidé de faire de la philosophie. Avec une prof de lycée étrange, intéressante. Un petit carré de cheveux noir. Noir, toujours. Se plonger dans des bouquins. Avant de comprendre qu'il n'y avait plus de possibilité pour le monde actuel. Seule la réflexion pouvait encore mener à quelque chose, l'observation. À force de trop agir, on a fini par se bloquer dans une opacité immobile.
Quand il sera riche, il écrira un livre. Gagner de l'argent, c'est classique et immuable. Alors il a trouvé le seul moyen d'en faire de façon honnête. Ou du moins correspondant à son caractère. Il est venu là. Et maintenant il se relève, et il prend la main que lui tend l'étrange clown. Car il n'y a pas à en douter, il est dans un monde de masque et de peur. Un monde qui lui offre un autre présent.
BEHIND THE COMPUTER ;AGE : Dix-huit printemps environ, peut-être un tout petit peu moins, peut-être un chouïa plus. Enfin vous voyer. Un début d'études supérieurs, un esprit Peter Pan à ses heures, et vieux sage à ces moments. Formidable adolescence...
SEXE : Féminin. Sauf quand j'ai trop Sisyphe dans la peau.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? En sautant de nuage en nuage et tout d'un coup je profère un juron phénoménal. Alors là Saint Pierre arrive et me dévoile ma terrible punition : tu t'inscriras dans le monde des clowns, tu recouvriras ta mortalité pour mieux la perdre. Et me voilà.
AVATAR DU PERSONNAGE : Ash Stymest, parce que c'est comme ça pour le personnage et que vous avez fichtrement raison, ça correspond bien à l'image qu'on se fait du type.
COMMENTAIRES, QUESTIONS OU SUGGESTIONS ? Pour l'instant rien de précis, tout me semble bien organisé et patin couffin. Je vous dirai peut être que tel ou tel truc cloche après inspection, mais ce serait juste pour prouver que je suis hautement insupportable et pointilleux.
Oh et sinon, j'espère être à la hauteur de ce prédéfini complexe mais j'ai quelques appréhensions.. n'hésitez pas à être honnêtes !
Dernière édition par Sisyphe L. Kah le Dim 6 Sep - 16:56, édité 7 fois |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Mar 1 Sep - 11:06 | |
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Il a droit à un dernier regard sur cette sale blanche. Porte d'entrée d'une vie inconnue. Passage initiatique vers un défi étrangement étrange. Quelques secondes supplémentaires pour faire cogiter ses neurones en ébullition. Un joli petit pactole à gagner. Mais en as-t-il besoin ? Oui et non.
Evidemment, décrocher la fortune serait synonyme de vie plus posée, de liberté tranquille. Possibilité d'aider sa mère, et de fouiller les brocantes extraordinaires. D'acquérir les éditions rares et inconnues de Nietzsche, celles qui n'ont pas été retouchés par sa soeur et salies par l'idéologie nazie. Money, money, money... Des espèces sonnantes et trébuchantes qui lui ouvriraient les portes de plusieurs immeubles.. La possibilité de se confronter au plus grand, lui, du haut de ses dix-sept ans. Mais au fond. Ce qu'il est devenu en ces quelques années de vie. Cet esprit exacerbé qu'il a pour le monde. Cette vision génialement fêlée de l'univers qui l'entoure. Pas besoin d'argent pour la faire subsistuer. Et c'est bien la seule chose à laquelle il tient. Son esprit. Sa force.
Pourquoi est-il là ? Rencontrer des gens ? Oh non, les gens sont les mêmes toujours. Ils se croient tellement uniques. Mais ils ont tous les mêmes réactions. Du moins si l'on réfléchit un peu. Si l'on tire quelques similarités de caractère. Ils sont là, dans leur présent fangeux, sans se soucier réellement d'une continuité historique. Les gens sont bloqués dans un présent immuable. A quoi bon tenter de les déverouiller ? Aucun n'est assez lucide pour acquérir une parfaite focalisation zéro. Peu importe.
Alors il y a ces clowns. Ces légendes. Il se souvient du nez rouge avec lequel il jouait quand il était dans son berceau. Tendrement balloté au gré de la main maternelle. Rêvant de lait chaud et nourrissant. Un lait qui s'éloignait chaque jour un peu plus. Une mère harrassée par des années de labeur idiot et répétitif. Ce nez rouge qui traînait sur son étagère.
La fois où Alicia était venue chez lui. Ils avaient quatorze ans et s'aimaient comme on s'aime. Elle l'avait pris et pour rire l'avait jeté par la fenêtre. C'était son amoureuse. Première de classe, comme lui. Une fille intelligente et très rationnelle, contrairement à Sisyphe. Elle n'aimait pas les nez de clown. Et on l'avait autorisé à faire comme chez elle. Pauvre Alicia... Cet amour là avait été de courte durée. Pour ce geste elle avait perdu Sisyphe. Une perte bien grave pour sa popularité à l'école. Sisyphe n'était pas glorieux à afficher sur son tableau de chasse.
Les cheveux jamais coiffés, deux grands yeux fixés vers des points inconnus ou inintéréssants. Premier de classe incapable d'aider qui que ce soit. On ne comprenait pas ses conseils, on ne comprenait pas ses exposés. Les professeurs ne cessaient de répéter "je vous mets vingt car je n'ai pas le coeur à vous mettre zéro mais vous comprenez que vous êtes décalé." On ne sait pas trop s'il comprenait réellement. Il rentrait seul chez lui, il sortait le soir et on le retrouvait dans des cinémas d'arts et d'essai. C'était un bon ami quand on était fatigué, ou qu'on avait trop bu. Ce qu'il disait paraissait soudain lumineux. Mais ce n'était pas vraiment le play-boy de ces demoiselles. Plutôt le genre de fou attirant.
On a essayé de le coincer. Tout le monde se souvient du jour de bizutage. Entrée au lycée. Il paraissait si fragile, dans sa chemise trop grande pour lui et ses cernes assez marqués. Tous avaient du rôder dans une fôret. L'horreur. Les filles hurlaient, les mecs jouaient au plus fier. Finalement ils s'en étaient tous sortis. Sauf deux. Une fille extrêmement jeune et fragile. On avait peur pour elle soudain, que lui était-il arrivé ? Et lui. On marcha des heures entre les arbres avant de les trouver. Ensemble. L'enfant était allongée au pied d'un arbre, et Sisyphe semblait poursuivre un long monologue sans queue ni tête. On les sépara, et la rumeur courut que Sisyphe était un dingue. Et la parole de la fragile jeune fille, répètant qu'avec lui elle avait compris la nature comme elle ne l'avait jamais comprise, n'avait pas beaucoup de poids.
Un drôle de type qui était assis là, dans cette sale blanche. En un quart de seconde, des images étaient venu déferler dans son esprit. Le portrait de sa mère. Un an qu'il ne la voyait plus. Ils habitaient tous les deux ensemble, depuis dix-sept ans. Mais leurs horaires se croisaient, se fuyaient. Ils avaient un sang en commun. Et c'était tout. Sisyphe s'était adapté à toutes les situations, à tous les voyages, à toutes les connaissances. Sans jamais agir pour changer la donne. Il observait et s'adaptait. La seule chose qui le faisait fuir était le portrait complexe et ravagé de cette mère seule. Peut-être. Peut-être qu'un séjour ici, chez les clowns, le ferait cogiter au point de ne plus rien fuir. D'être capable de résoudre par l'observation méticuleuse chaque difficulté de la vie. Peut-être.
Dernière édition par Sisyphe L. Kah le Dim 6 Sep - 16:55, édité 2 fois |
| | | | Lust B. Bremen
Tickyness : 373
Topic : 2/3
Ticky ? : You're my master !
| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Mar 1 Sep - 11:14 | |
| Nicolas Bemberg. =) Tu m'as devancé de très peu, j'étais sur le point de poster une nouvelle fournée de PV's dont l'un avec ce cher mannequin. Reste plus qu'à en trouver un autre du même genre. T'as ton objet. Si il ne t'inspire pas, il est encore temps d'en réclamer un autre... Bref, bonne chance pour ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire.  | |
| | | | Invité
Invité
| | | | | Catsoon L. Sawyer
Tickyness : 433
Topic : 0/0
Ticky ? : You suck !
| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Mar 1 Sep - 11:19 | |
| T'as le bonjour de Cat' !
Bon courage pour ta fiche =) | |
| | | | Lust B. Bremen
Tickyness : 373
Topic : 2/3
Ticky ? : You're my master !
| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Mar 1 Sep - 11:28 | |
| Si d'autres avatars te conviennent, j'ai rien contre. Mais si tu tiens à Nicolas Bemberg je peux changer le mien, ça n'a pas d'importance. J'en ai posté trois nouveaux si tu veux, dans le genre psychopate du quatrième. La discrète, la manipulatrice et le fameux Nicolas pas mal sadique, qui joue sur les crimes psychologiques. Enfin, c'est pas les meilleurs, et faut encore que je leur ajoute des liens. Sinon, j'ai prévu de faire un psychopate photographe. Et au niveau du troisième étage, un mec particulièrement intelligent mais avec une philosophie de la vie aussi pertinente que déroutante, et sans doute un autre type déclaqué qui rêve de devenir clown. Enfin bref, fait ton business.  | |
| | | | Anouk R. Ridgeway
Tickyness : 619
Topic : BUSY
Ticky ? : You're my master !
| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Mar 1 Sep - 11:47 | |
| Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche =)
Au fait, j'adore le pseudo =) | |
| | | | Placid B. Johnson
Tickyness : 282
Topic : O1/O2
Ticky ? : You're my master !
| | | | | Frederic Abberline
Tickyness : 441
Topic : O1 / O2
Ticky ? : You suck !
| | | | | Invité
Invité
| | | | | Lust B. Bremen
Tickyness : 373
Topic : 2/3
Ticky ? : You're my master !
| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Sam 5 Sep - 17:04 | |
| J'comprends parfaitement, moi aussi je me fais déjà bouffer par la rentrée.
Excellent nouveau choix de perso en tout cas, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire.
Tu peux sans problème te l'approrier, du moment que le principal y est.
Bref, bonne chance pour la suite de ta fiche. | |
| | | | Dulcinée A. Evangelissi
Tickyness : 76
Topic : 2/2 LIBRES
Ticky ? : I love you !
| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Sam 5 Sep - 18:34 | |
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| | | | Invité
Invité
| | | | | Lust B. Bremen
Tickyness : 373
Topic : 2/3
Ticky ? : You're my master !
| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) Dim 6 Sep - 18:45 | |
| Pas d'inquiétude, le personnage est parfaitement cerné. C'est en tout cas comme ça que je le voyais, et j'ai déjà hâte de voir comment ce manoir et ses relations vont le faire évoluer. Fiche validée, bien entendu. Tu files remplir ce trop vide troisième étage. Have fun.  | |
| | | | Invité
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| | | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) | |
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| | | | | | Dérangé, trop subtil, but still on the road.. Sisyphe (80%) | |
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