Jonathan J. Cecil
Tickyness : 1
Ticky ? : You're my master !
 | | Sujet: Jonathan J. Cecil Mer 30 Déc - 3:55 | |
| TELL ME WHO YOU ARE ;NOM : Cecil
PRENOM(S) : Jonathan Jul
NATIONALITE : Britannique
AGE : 18 ans
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
PROFESSION : Sans emploi fixe. Besoin d'argent? C'est pratique d'avoir des pilules à vendre. I WANT TO KNOW EVERYTHING ABOUT YOU ;PSYCHOLOGIE : S'il y a quelque chose qui définit à la perfection ce que l'on comprend de Jonathan, c'est que rien ne se doit d'être considéré à partir de ce que cette chose paraît. Difficile de croire que derrière ce jeune garçon gentil, serviable, altruiste et décidemment aimable se cache une âme torturée, macabre et incontrolable. Jonathan n'a réellement rien d'un monstre, tant qu'il reste lui même. D'ailleurs, même pendant l'un de ses trips sanguinaires après consommation de ses pilules, ce n'est pas d'un monstre qu'il a l'air. Il devient capable du pire, criminellement parlant, mais toujours avec une sensualité, une classe et une maîtrise qui rend artistique le plus horrible des massacres. Totalement accro à ses pilules chéries, il ne peut plus se passer de l'orgasme de meurtres que lui procure son addiction. D'ailleurs, parlons-en de ces plilules. Totalement crées et produites par lui-même, Dieu sait comment (ou devrait-on dire, Ticky sait comment), elles sont encore méconnues du grand public. Ce qu'il sait, et que Ticky doit savoir par la même, c'est que le manoir tout entier sera bientôt plongé dans une curiosité maladive, et les questions ne sauraient tarder. Il sait qu'ayant quelque chose que quelqu'un pourrait vouloir, il se retrouvera en position de force. Il se pourrait qu'il ne soit pas le seul à vouloir planer dans l'autre monde de temps en temps.
PHYSIOLOGIE : Du haut de son mètre quatre-vingt-trois, il cultive un parfait look androgyne. Cheveux de paille, yeux bleus, regard préoccupé, toute la panoplie du jeune garçon sage. Des traits fins, lisses, un teint de porcelaine, un réel air angélique, donc. En apparence. Son allure juvénile et atypique est controversée par sa démarche désinvolte et suffisante. Non dans un sens supérieur, mais plutôt calmement posé. Sa silhouette filiforme plane littéralement dans le manoir, presque en lévitation permanente, sans pour autant en être effrayant. Une sorte de fantôme rassurant. Disons que s'il n'était pas dans le décor, vautré dans un canapé, appuyé sur la rambarde de l'escalier, quelque chose clocherait. Son premier signe de rébélion s'est soldé par un piercing à la lèvre. Dès lors, c'est un peu devenu le symbole de son grain de folie, la bipolarité pilulaire, comme on dit. Excentrique jusqu'au trognon, il s'habille en mélangeant l'inimaginable, et incroyable, ça lui donne un effet insaisissable. Additionons-lui un regard aussi pénétrant que prétenduement innocent, il à tout à son honneur l'air d'un personnage entre deux mondes.
HISTOIRE : Ce qu'il faut savoir, avant tout, c'est que rien ne laissait entrevoir que Jonathan muterait en un prédateur drogué à l'acide.
Jonathan, mon amour, range tes jouets. Papa sera là d'une minute à l'autre. Il est sorti plus tôt ce soir, et il est passé chez le pâtissier. Tu auras ton gâteau au chocolat et sept bougies à souffler.
Jonathan lui sourit. Il l'aimait vraiment beaucoup. Son père et elle l'avaient eu à la trentaine, et il était pour eux le plus beau des cadeaux que la vie leur ait offert. Il y avait la réussite professionnelle, la réussite sociale, la réussite amoureuse, mais l'arrivée d'un enfant les avait comblé de bonheur, et ils le montraient. Les parents de Jonathan le chérissaient incontestablement et inlassablement.
Allez mon chéri, tout est prêt! Viens avec maman, papa est là.
Ce jour-ci, Jonathan reçut des jeux de construction, et puis des livres d'aventure qu'il lut au lit, avec ses parents, un peu tous les soirs.
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C'est excellent. Vraiment excellent. Nous sommes très fiers de toi, Jonathan. Tes résultats scolaires étaient déjà bons, mais tu t'es surpassé. Tu feras de grandes choses.
Merci papa.
À douze ans, Jonathan, sage comme une image, s'intéressait à l'étude, très sérieusement désireux de prouver à bien des gens, et surtout à ses parents, qu'il était capable de réussir.
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Maman, il va bientôt falloir que je remplisse les dossiers pour aller visiter les facs.
Je sais chéri, il faut en parler avec papa. Il voudrait que tu intègres la Leicester University of Law. Il pense que Harvard est plus prestigieuse mais elle est aux États-Unis. Leicester est en Angleterre, près de chez nous, et puis elle est quand même assez réputée. De toutes façons, l'essentiel est que tu puisses suivre les traces de ton père. Le doyen de la Leicester est un vieux ami de ton père, nous pourrions l'inviter à dîner un de ces soirs.
Maman, je n'ai pas encore décidé où j'irai. Je veux juste visiter plusieurs facs.
Oui oui, nous verrons. Je t'aime. Nous t'aimons, tu le sais.
Oui, je sais.
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Jonathan avait mal à la tête. Il pleuvait, il venait d'avoir une dispute mouvementée avec sa mère à cause l'heure à laquelle il était rentré. Ensuite, son père l'avait harcelé à propos de son entrée à l'université l'année prochaine et de ses choix. Il se sentait fatigué. Non qu'il ne soit pas reconnaissant à son père de lui offrir des facilités. Il se demandait si le chemin que prenait sa vie était celui qu'il désirait. Il l'avait toujours su, que tout avait été préparé spécialement pour lui, et n'avait jamais bronché. Mis à part une fois, lors d'un voyage en Argentine avec des élèves de son cours d'espagnol. Après une soirée arrosée où il avait connu une jolie portugaise tatouée et piercée, serveuse dans un bar, il avait voulu garder un souvenir de son premier écart. Il était revenu à la maison, trois jours plus tard, un piercing à la lèvre. Incident diplomatique, drame familial, mais il l'avait gardé.
Il toucha la pointe de son piercing. C'était une sorte de rituel. En moment de doute, de fragilité, comme une lute entre le bien et le mal. Voir qu'il était encore là, après trois ans, c'était se démontrer à soi-même qu'il était totalement capable de fermeté, de se démarquer de la position de ses parents. Il voulait vraiment être heureux, mais sans les décevoir.
En réfléchissant un peu, tout ce qu'il voulait, c'était un putain de calmant pour son mal de tête. Un peu grogui, il glissa sa main dans l'armoire à médicaments. Il sortit plusieurs boîtes, et les ouvrit. Petit cocktail molotov, il se fourra un cachet de chaque dans la gorge, et but un verre d'eau tout entier. Il voulait tout faire disparaître. Attention, Jonathan ne voulait pas en finir, mais il pensait sérieusement à une petite séance de plane personnelle. Il ne croyait pas aux joints, pas non plus aux injections. Les médicaments, c'était paradisiaque. Toujours, sans faute. Il ne sut jamais ce qu'il avait fait cette nuit. Il ne voulut pas le savoir non plus, mais il savait que ça avait été la meilleure nuit de sa vie, incomparablement.
La recette? Il l'avait, et en quelques jours, il concocta de petites pilules multicolores acidulées. Ses petits bonbons, comme il disait.
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Et comment Jonathan est-il arrivé jusqu'au manoir de Ticky, vous demandez-vous?
Sa came, il l'a gardée bien précieusement, uniquement et exlusivement pour lui, pour ses moments de solitude, ses moments d'opression, de doute, de tristesse. Bref, à chaque nuage, petit, riquiqui, ou grand. Pour le moment, pas question de vendre, pas question de chantage, pas question d'échange. Sa seule ambition, c'est qu'elles soient siennes. Il sait que quand il en prend, deux choses sont automatiques: il commet des actes horribles, monstrueux, et puis il est heureux. Quelques uns de ses crimes sont apparus anonymes dans les journaux. Personne ne se doute que le gentil Jonathan est inconsciemment derrière tout ça, enfin, personne sauf le propriétaire d'un certain manoir. Un coup de fil, très tard le soir, lui a fait presque aussi bien que l'une de ses pilules acidulées: une invitation à un jeu, pension comprise, quelque part. Quelque part qui n'était certainement pas l'une des facs de droit les plus prestigieuses au monde. Que rêver de mieux? Jonathan le voulait, il l'attendait ce défi. C'était un peu comme s'il n'avait vécu que pour ce jeu, ce coup de fil, cette nuit-là. Gentil comme il est, Jonathan s'en voudrait de partir en abandonnant ses parents sans un mot, ses parents chéris. Il les réveille, leur prépare du café, et les installe dans le salon. Papa et maman ont l'air grave, comme ceux qui savent que quelque chose se dérobe, et qu'ils sont incapables de le retenir. Ni argent, ni promesses, ni compromis. Jonathan part, ne sait pas pour combien de temps, mais il les aime, et les appellera. Et qu'ils ne soient pas tristes, il sait qu'il doit le faire, comme une vocation. Ils comprenent, ou ne comprenent pas, mais c'est comme ça.
GET READY TO PLAY !POURQUOI VOULEZ-VOUS PARTICIPEZ A CE JEU ? C'est plutôt ce jeu qui veut me participer, si vous voyez ce que je veux dire. Et puis s'il y a des petites pilules au milieu, ce sera encore plus acide.
QUE PENSEZ-VOUS DES CLOWNS ? La même chose que ce que je pense de moi-même, difficile à éviter, mais on accepte, ça ne peut être qu'enrichissant, pas vrai? BEHIND THE COMPUTER ;AGE : 17 ans et demi
SEXE : Féminin
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ?: En manque d'écriture, j'ai fait un petit tour sur les partenariats et demandes de partenariats de forums où j'avais été inscrite, comme Duty, où j'ai trouvé ce lien.
AVATAR DU PERSONNAGE : Luke Worral
COMMENTAIRES, QUESTIONS OU SUGGESTIONS ? Plates excuses pour cette fiche que j'aurais voulu meilleure. Je me rattraperai en rp 
Dernière édition par Jonathan J. Cecil le Jeu 31 Déc - 2:07, édité 7 fois | |
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