| | HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. | |
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Carl Henderson
Tickyness : 4
| Sujet: HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. Sam 16 Jan - 1:11 | |
| LIVE OR DIE, MAKE YOUR CHOICE. LET THE GAME BEGIN ;- Spoiler:
INFORMATIONS
AGE : 22 ANS. PROFESSION : BARMAN CLOWNITUDE : 80% TICKY : I LOVE YOU !
LES GRANDES LIGNES
Une dangereuse passion a pris naissance dans son cerveau de sadique accompli. La comportement humain, et toute sa psychologie. L’arme de ses crimes, sanglants et réfléchi. Il est de ceux qui ne se salissent pas les mains, poussant ses victimes à salir les leurs. Si sa partenaire préfère les laisser s’entretuer, lui prend à malin plaisir à les conduire jusqu’à se suicider. Et il est effrayant de voir avec quelle facilité il parvient à y arriver. Subtilement, il les engouffre dans un désespoir toujours plus profond, ôtant leur envie de lutter, leur désir de respirer. Les confrontant à la cruauté du monde dans lequel ils sont contraint d’évoluer. Cette manière d’opérer, impressionnante et respectée, pourrait bien être son passeport vers la victoire tant désiré. Car sa motivation est plus importante que le simple désir de jouer, et la satisfaction de gagner. Cet argent promis au gagnant, il en a besoin, et est sévèrement déterminé à le remporter.
RELATIONS
GEMMA WARD | Son ami, autant que son ennemi. Il sait qu’il ne doit pas s’en approcher, et ne peut pourtant pas s’en empêcher. C’est ensemble qu’ils continuent de jouer, mais gagner est pour lui une priorité. Son furieux besoin d’argent risque de bien vite s’imposer, et de terrasser au passage leur profonde amitié. La trahison n’est pas loin, reste à savoir lequel des deux gagnera.
FREJA BEHA | Probablement le seul qui est conscience que cette joueuse est une véritable source de danger. Pendant que les autres continuent de la sous-estimer, lui préfère s’en méfier. Il l’observe, et la considère comme une sérieuse ennemie capable de compromettre son ascension vers la première place. Une perspective aussi inquiétante qu’excitante.
TAYLOR WARREN | Incapable de lui résister, il s'est très vite lancer dans une relation aux allures sérieuses avec cette mystérieuse femme conservant encore pour lui une foule de secrets. De réels sentiments commencent à naître, et lentement, il ressent la dangereuse impression d'être contrôlé, changer. Mais son attirance pour elle l'empêche de s'en aller. Il lui appartient, désormais.
ARE YOU LUCKY ? : Un scorpion, et son mystérieux espion.
HURRY UP, TIME IS RUNNING OUT : Ange plein de beauté, connaissez vous les rides, - Et la peur de vieillir, et ce hideux tourment, - De lire la secrète horreur du dévouement, - Dans des yeux où longtemps burent nos yeux avides? - Ange plein de beauté, connaissez vous les rides?
Engourdissant. Glaçant. Frissonnant. Ou peut-être tout simplement froid. Quelle sensation! Carl était dans un tel état qu’il ne ressentait plus la moindre parcelle de son corps, il n’avait plus rien d’humain, plus rien de charnel. Il se sentait comme une âme pensante qui aurait évacué tout corps, et même l’idée de corps. Ce ne fut que lorsque son esprit prit le temps de s’attarder au monde matériel et comprit l’absence soudaine de toute sensation charnelle, que Carl sembla comprendre qu’il était en train de se réveiller. Qu’ils étaient doux ces réveils surnaturels et douloureux. Qu’ils étaient habituels ces réveils à se demander où l’on est, ce que l’on a pu faire la veille ou encore le jour que nous sommes. Carl savourait ces instants de douleur matinale. Il aimait ça. Non pas par sadisme, mais plus par habitude, par besoin de sentir son corps pour pouvoir l’accepter et le contrôler. Toujours allongé, immobile et inerte, Carl prenait doucement mais brutalement conscience de son corps. Il ressentit sa chemise si blanche et amidonnée lui coller à la peau à cause de sueur. Il ressentait désormais chacun de ses muscles. Le froid gagnait chacun de ses muscles douloureux; la douleur commençait à le tirer. Il ressentait alors des parties de son corps qu’il ignorait habituellement. Carl aurait voulu prolonger son réveil. Ne jamais sortir de cette sorte de torpeur. Rester entre le songe et la réalité. Entre la douleur du monde qui le tiraillait avec plaisir et la douceur du songe qui le plongeait dans un monde de coton. Mais une vague de frisson le gagna, ravagea son corps et détruit tout l’équilibre instable qui régnait entre songe et réalité. Ce frisson fut la perte de son humeur. Une journée de plus à tirer. Une journée de plus à traîner son corps. Une journée où il aura à faire semblant d’être normal. Une journée où il aura à cacher sa nervosité, sa perversité, sa dangerosité. Une journée fade et insipide. Une journée de plus où il serait amenait à contrôler son prochain, à contrôler l’ennui et la vanité de sa vie. Ses yeux s’ouvrirent. Étincellement de perversité et d’horreur à venir. Carl rencontra la lumière âpre qui habitait la pièce. Il ne suffit de rien de plus pour qu’il comprenne que, cette fois, ce n’était pas sur le sol de sa salle de bain qu’il s’était endormi. Étincellement de vivacité et d’un soudain intérêt à l’égard de cette nouvelle journée. Carl bondit, reprenant rapidement contrôle de son corps, le guidant à la perfection, contrôlant chaque infime mouvement, contraction, tension. Debout, il n’eut qu’un regard pour cette bombe, ce compte à rebours agressif. Étincellement de perversité et d’horreur à venir, de vivacité et d’un soudain intérêt à l’égard de cette journée.
La force du sadisme, l'attrait qu'il présente, gît tout entier dans la jouissance prohibée de transférer à Satan les hommages et les prières qu'on doit à Dieu...
Choc. Intrigue. Fascination. Carl ne ressentait pas la moindre peur. C’était encore une réaction déplacée, vaguement hautaine, de sa part. Il avait évidement conscience qu’une bombe était là, sous son nez, prête à exploser, prête à gâcher son Destin. Mais Carl n’y croyait tout simplement pas. Il savait parfaitement qu’il pourrait en prendre le contrôle, il contrôlait tout, tout le temps. Rien ne pouvait lui échapper. Alors qu’un intérêt soudain prenait place dans son esprit pour essayer de relever ce défi, tout ce que pouvait ressentir le jeune homme n’était que fascination. Fascination pour ces chiffres d’un rouge écarlate. Fascination pour ce temps qui s’écoulait d’une manière si abstraite, mais qu’il savait lui appartenir. Fascination enfin pour cette situation rocambolesque. 59.32. Il avait exactement cinquante neuf minutes pour réussir à s’en sortir. Éviter la mort. Choisir la vie. Bizarrement, il ne savait pas vraiment pourquoi il choisirait de vivre après tout. Aurait-il au moins le temps de se décider entre vie ou mort en cinquante neuf minutes? Cela paraissait tellement improbable qu’il soit confronté à un tel choix. Lui qui n’était pas réellement vivant. Il ne pouvait pas l’être. De la même manière qu’il ne pouvait pas mourir. Personne ne pouvait tuer Carl. Personne ne pouvait l’atteindre, le toucher, ni même l’intéresser. Alors décider de sa mort paraissait tellement incongru, déplacé, ou juste impossible. Il savait très bien que tout cela était orchestré par quelqu’un. Après tout, il ne pouvait pas se retrouver enfermé dans une pièce en compagnie d’une bombe, sans que cela ne soit orchestré par un malade, un fou, un sadique, un pervers, un dingue, un taré, un semblable. Mais contre toute attente, Carl était d’un étrange calme. Il n’arrivait pas à saisir tout à fait l’ampleur du désastre que ce serait d’exploser. Il ne voyait pas tout à fait le mal à ça. Et aucune réaction ne lui vint que celle de s’asseoir, adossé contre le mur, attrapant une cigarette dans la poche de sa chemise, brûlant le tabac et juste fumer. Oui, fumer. Délicatement fumer. Calmement fumer. Passionnément fumer. Juste fumer. Comme ça. Comme si de rien n’était. Il aimait la cigarette, c’était une de ces choses qui faisaient fondre les filles par la grâce des mouvements, des gestes, de la volupté, des volutes de fumées et qui comblaient l’ennui et le vide. Alors oui, à ce moment là, réfléchissant vaguement s’il préférait mourir ou vivre, Carl n’avait d’autre envie que celle de fumer une cigarette. Et il aurait très bien pu rester comme ça. Fumer cigarette sur cigarette jusqu’au dernier moment. Il l’aura certainement fait, il ne voyait pas ce qui le pressait réellement. Mais quelqu’un ou quelque mécanisme dans un coin sombre de la pièce fit glisser jusqu’à lui un enregistrement. Carl détestait ce genre de choses. Il n’y avait rien de vrai à part les vinyles. Il attrapa donc la chose, par politesse, hochant la tête en signe de reconnaissance, comme un « merci » adressé à n’importe qui, peut-être même personne. Mais il n’était toujours décidé à déclencher l’enregistrement. En réalité, il avait perdu l’habitude de ces appareils. Il tourna l’engin, le regarda dans tous ses recoins, d’un air détaché, se préoccupant plus de sa cigarette. Il finit par écraser le reste du mégot contre l’engin et le prit enfin à deux mains pour l’enclencher. N’ayant plus d’autre choix, d’autre distraction à sa portée.
« Bienvenue dans mon manoir. Tu ne me connais pas, et cela n'a aucune importance car moi, je te connais. On va jouer à un jeu et tu sais ce qu'il se passera si tu perds ? La bombe qui se trouve en face de toi explosera, et je suppose que tu comprends qu'il vaudrait mieux que cela n'arrive pas. Comment t'en sortir ? A toi de le découvrir. Regarde autour de toi, tu sais que je ne mens pas. Le compteur tourne, tu ferais mieux de te dépêcher. Qu'es-tu prêt à faire pour rester en vie ? Vivre ou mourir, il faut choisir. Le jeu peut commencer. »
La passivité de Carl s’envola brutalement. On prenait le contrôle sur sa personne. On osait jouer de lui, le mener à la baguette, anticiper ses réactions, ses pensées, ses envies. C’était tout à fait intolérable. Il ne tolérait pas de devenir une victime. Il ne tolérait pas non plus cette pièce. Ce jeu. Il tolérait cet espace en tant que pièce brute, vide, secrète et sombre. Son appartement ressemblait à cette pièce, une porte et deux fenêtres en plus. Le luxe des barmans. Mais celle-ci l’oppressait, l’étouffait maintenant qu’il savait qu’on se jouait de lui, qu’on le forçait à jouer d’ailleurs. Être une victime, impossible. Il était né pour victimiser les gens, les torturer, les forcer à se plier à sa volonté, quelle qu’elle soit. D’un geste rapide, bref, concis, précis et cependant plein de son dégoût et de sa rage, Carl envoya l’engin au sol, qui se fracassa dans un drôle de petit bruit de machine cassée qui lui plaisait. Un rapide coup d’œil au reste de mégot sur le sol. Il ne pouvait plus rien en fumer. Désolation. Main droite sur le cœur, pour attraper une nouvelle cigarette. Avec cette même nonchalance, cette assurance, mais ce nouvel élan de rage, de fierté, d’insolence, Carl fuma sa cigarette, calmement, jouant presque avec les volutes bleutées avant de lancer, le regard pétillant, vivace, électrique : « Jouer. On va jouer, putain de merde. » Sa voix était brutale. Étrangement enrouée. Peut-être trop de cigarette ou d’alcool. Son accent était trop prononcé. Il n’avait même pas desserré les dents. Cela devait être comique, inattendu ou inapproprié puisqu’une personne se permit de ricaner. Le ricanement. Encore une de ses propriétés. Encore une de ces petites choses qu’il ne pouvait supporter lorsque cela émanait de quelqu’un d’autre que lui. Comment pouvait-on oser ricaner alors qu’il acceptait enfin leur jeu? S’il décidait de s’occuper d’autre chose, de se laisser mourir, de laisser passer le temps, leur jeu serait inutile, vain, sans intérêt, ils perdraient leur temps, leur plaisir. Alors pourquoi, pourquoi ricaner? Presque offensé, Carl se redressa du haut de son mètre quatre-vingt-huit, passant une main dans ses cheveux, les plaquant en arrière, esquissant un rictus, la cigarette au bord des lèvres. D’un regard aiguisé, il dévisagea la personne tapie dans l’ombre. Alors comme ça, il osait ricaner? Ricaner de lui. Carl Henderson. Lui sans qui le jeu n’aurait plus de valeur. Lui avec qui il était enfermé. Bizarrement, il trouvait ça très excitant.
« Alors. On joue? »
Carl venait de dévisageait l’homme. Il tenait une chose étrange posée à ses pieds. Il se tenait droit. N’était pas très grand. Pas vraiment musclé. Insignifiant en réalité. Cet homme, Carl pouvait en faire tout ce qu’il voulait, il le savait très bien. Mais puisqu’une bombe le menaçait et qu’un vieux fou se permettait de se jouer de lui par enregistrements, il laissait le doute d’une chance à cet homme et s’apprêta à jouer.
Cette présentation est à faire sous forme de RP. Quelques conditions sont cependant à respecter pour être validé. Tout d'abord, les points importants d'une présentation doivent être présents dans votre RP. A savoir une description du caractère, du physique et l'histoire de votre personnage. Mais aussi la raison pour laquelle votre personnage s'est inscrit à ce jeu. Tâchez d'ajouter ces informations de façon subtile, sous forme de flash-back ou autres. Aucun nombre de ligne n'est imposé, mais le RP doit être très conséquent, puisqu'il doit contenir un nombre assez important d'informations sur votre personnage. Au niveau du "jeu" qui vous est proposé, vous devez impérativement utiliser l'objet qui vous est attribué. Il ne doit pas forcément être la clé de votre fuite, mais doit y participer. La façon dont vous réussissez à quitter la pièce est très libre. Vous pouvez inventer n'importe quel mécanisme, ou n'importe quel passage secret, du moment que la fuite est élaborée et réfléchie. Restez simplement crédible dans vos actions, et surtout, restez en accord avec le caractère de votre personnage. BEHIND THE COMPUTER ;AGE : I forget. SEXE : Twice. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Darling Daisy. AVATAR DU PERSONNAGE : Bemberg Nicolas. COMMENTAIRES, QUESTIONS OU SUGGESTIONS ? I'm in love with a red haired boy.
Dernière édition par Carl Henderson le Sam 16 Jan - 6:19, édité 9 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. Sam 16 Jan - 1:22 | |
| oh mon dieu t'es encore plus poisson rouge que moi, t'as oublié ton âge ! bref trêve de plaisanteries idiotes, bienvenue nicolas bemberg & le PV méga intéressant, merveilleux choix je te souhaite la bienvenue même si je viens tout juste de faire mon entrée (a)
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| | | Lust B. Bremen
Tickyness : 373
Topic : 2/3 Ticky ? : You're my master !
| Sujet: Re: HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. Sam 16 Jan - 1:25 | |
| Bienvenue sur le forum ! =) On esquive toutes les réponses à ce que je vois. On tient à son anonymat ? A part ça, Nicolas Bemberg, je l'aime ce PV. Il cache un énorme potentiel, et j'ai hâte de voir la façon dont tu vas le jouer. Si l'objet te convient pas, ou si tu le comprends pas (parce que là...), tu fais signe. Bonne chance pour la suite. | |
| | | Carl Henderson
Tickyness : 4
| Sujet: Re: HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. Sam 16 Jan - 1:40 | |
| - Elphyre Warhol a écrit:
oh mon dieu t'es encore plus poisson rouge que moi, t'as oublié ton âge ! bref trêve de plaisanteries idiotes, bienvenue nicolas bemberg & le PV méga intéressant, merveilleux choix je te souhaite la bienvenue même si je viens tout juste de faire mon entrée (a)
BOF, ça m'intéresse pas de savoir de combien je suis vieille Merci beaucoup ceci dit Et tu es sacrément rapide Et j'avoue que le personnage est merveilleux mais ce n'est même pas moi qui en ait eu l'idée et ce n'est même pas moi qui l'ai choisis, donc... ENFIN BREF - Lust B. Bremen a écrit:
- Bienvenue sur le forum ! =)
On esquive toutes les réponses à ce que je vois. On tient à son anonymat ?
A part ça, Nicolas Bemberg, je l'aime ce PV. Il cache un énorme potentiel, et j'ai hâte de voir la façon dont tu vas le jouer.
Si l'objet te convient pas, ou si tu le comprends pas (parce que là...), tu fais signe.
Bonne chance pour la suite. Merci beaucoup (et j'adore ton avatar, un truc de dingue (bon, c'est surtout ce gars que j'adore, mais l'avatar est tout aussi beau)) Je n'esquive rien du tout, je me suis donné la peine de répondre tout de même! et je suis une inconnue, mon anonymat ne relève même pas de moi MDR Et voilà, je suis stressée, j'ai peur de ne plus être à la hauteur, merci C'est le... "mystérieux espion" qui achève mon dernier neurone | |
| | | Lust B. Bremen
Tickyness : 373
Topic : 2/3 Ticky ? : You're my master !
| Sujet: Re: HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. Sam 16 Jan - 1:55 | |
| Mystérieux espion... hmm. J'avais en tête un mec qui t'observerait, soit à travers des trous quelconque dans le mur, soit directement dans la pièce, caché dans l'obscurité. Enfin, tu vois... J'pensais même qu'il pourrait être le propriétaire du scorpion, mais bon à ce niveau de détail c'est toi qui voit. Merci pour l'avatar, sinon, même si il est pas du tout de moi. Tout le monde à l'air d'approuver la grande classe de Josh Beech, on se demande pourquoi on le voit pas plus souvent dans les RP's (même si on le voit quand même, de temps en temps). Moi, je le trouve parfait dans le rôle du psychopate de base. | |
| | | Carl Henderson
Tickyness : 4
| Sujet: Re: HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. Sam 16 Jan - 2:07 | |
| - Lust B. Bremen a écrit:
- Mystérieux espion... hmm.
J'avais en tête un mec qui t'observerait, soit à travers des trous quelconque dans le mur, soit directement dans la pièce, caché dans l'obscurité. Enfin, tu vois... J'pensais même qu'il pourrait être le propriétaire du scorpion, mais bon à ce niveau de détail c'est toi qui voit.
Merci pour l'avatar, sinon, même si il est pas du tout de moi. Tout le monde à l'air d'approuver la grande classe de Josh Beech, on se demande pourquoi on le voit pas plus souvent dans les RP's (même si on le voit quand même, de temps en temps). Moi, je le trouve parfait dans le rôle du psychopate de base. Moi qui pensais que ça avait un lien direct et subtil à souhait avec le scorpion en tant que tel M'enfin, ça me va, c'est super même (enfin, faut-il encore que j'arrive à rédiger un truc potable et digne du personnage ) Si Slimane approuve, on approuvera tous de toute façon Et puis, personnellement, je ne peut pas résister à un mec pareil avec de tels tatouages Mais moi je le vois partout (et toujours en rebelle au cœur de poireau ). Et je le vois plus en fou qu'en psychopathe | |
| | | Andréa Abberline
Moi j'suis personne. Par contre toi, t'es rien.
Tickyness : 365
Topic : 1/2 LIBRES Ticky ? : You suck !
| Sujet: Re: HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. Dim 17 Jan - 18:49 | |
| AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH *Crise d'hystérie profonde. Alerte alerte. Petit homme rondouillard faisant à la queue lele en tournant joyeusement autour de cet organe que l'on nomme cerveau. Cour circuit, les neurones éclatent. Paf. S'en ai fini. RIP darling.* Hum. Pardon. Ni.... Nico...Nicolaaaas. Je te souhaite donc la bienvenue. Hum. Super méga over pressée de te voir en rp. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. | |
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| | | | HENDERSON — les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts. | |
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