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 La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]

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Frederic Abberline

Frederic Abberline


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MessageSujet: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyJeu 2 Juil - 21:32

La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] Image80 La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] Image113 La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] 11

« Il aperçoit le mur, l’enceinte, les portes du cimetière. Deux battants gigantesques qui s’ouvrent sur le lieu où le temps est aboli. Une inscription est affichée en haut de l’entrée principale : « Celui qui croit en moi vivra, quand bien même il sera mort. »

LIVE OR DIE, MAKE YOUR CHOICE. LET THE GAME BEGIN ;


    ARE YOU LUCKY ? : Un couteau encore ensanglanté et un pendentif en forme de croix.


    Le corps d'un jeune homme est étendu au milieu d'une pièce sombre, inconscient. L'esprit vagabonde.

    Flash Back ~

    Aveuglé par les larmes, Fréderic Abberline ne fixe que le cercueil. Une boîte. Une boîte hermétiquement fermée. Une couvercle rabattu sur son corps, sur son visage qu’il a tant de fois couvert de ses regards et de ses baisers... Peu de personnes sont présentes, elle était trop décalée pour avoir des amis. C’est d’ailleurs pour cela que les deux adolescents s’entendaient si bien. Ils se ressemblaient, ils étaient tellement heureux. Ensemble, ils pouvaient songer à tout, l’imaginaire n’était point, fantaisie et réalité se mêlaient joyeusement dans l’immensité coloré de leur idylle. Pourquoi ne pouvait-il pas en être encore ainsi ? Tout cela par sa faute… Sous ses pieds la terre tangue. Parce que la terre va se refermer sur elle, sur sa bien aimée. A jamais. Les autres jettent une rose sur sa tombe. Lui, lance un bout de papier froissé, mouillé par les larmes, quelques mots dictés par le désespoir : « Naître pour mourir, mourir pour renaître, rendez-vous dans le soleil… » Le soleil qui est là, tel un membre à part entière du cortège funéraire, qui darde ses rayons sur le bois du cercueil, comme si il cherchait à s’infiltrer jusqu’à elle en dépit des charnières métalliques, pour la réchauffer une dernière fois. Une dernière fois avant la descente. Avant les ténèbres. Debout, immobile, paralysé par la douleur, il regarde le cercueil s’enfoncer, s’enfoncer toujours plus profond. C’est alors qu’il entend sa voix qui l’appelle : « Ne les laisse pas me mettre sous terre. Viens avec moi ! Ne m’abandonne pas ! ». Si le maître de cérémonie présentant son geste, ne l’avait pas doucement retenu par le bras, il serait descendu lui aussi.


    Perdre l’être que l’on aime, le perdre brutalement, c’est comme sombrer dans un coma profond et se réveiller amputé. Amputé du cœur. Après l’abrutissement, après l’épuisement provoqué par le chagrin vint la révolte. On refuse d’accepter cette mort, on aperçoit la silhouette de l’être cher à chaque coin de rue, on entend sa voix, ses appels, on se remémore ses sourires, ses habitudes, et les souvenirs se transforment en un cortège de tortures. Mais on a beau hurler, se rebiffer, on se heurte à un mur. Ce mur, c’est l’irrémédiable, l’imparable, l’idée que la mort est et restera irréversible. Ce mur est à l’image de l’enceinte qui sépare les cimetières du cœur des villes. Oui, ceux qui ont conçu l’architecture des cimetières ont compris cela. Un simple regard sur le mur d’enceinte, et on sait qu’il n’y a plus aucun recours.


    3 mois plus tard…

    Le coup de feu retentit à travers la salle de bains. L’ampoule accrochée au plafond rugueux vacilla, tandis que des débris de verre se détachèrent avec fracas du miroir poussiéreux, accroché vulgairement au bout d’une ficelle. Il régna alors tout à coup un silence impénétrable, insondable qui rendit l’atmosphère lourde et oppressante, un tombeau lugubre orné d’une faïence crème jaunie par le temps, d’une baignoire en fonte désuète, éventrée par endroits et dont les entrailles en plomb crachait sporadiquement quelques larmes d’une eau brune et insalubre. Quelques mobiliers d’infortunes complétaient cet endroit anachronique, dont un vieux lavabo souillé par la moisissure, fébrilement accroché à un mur en plâtre et des toilettes qui subissait le même sort. On eut dit l’antichambre d’une morgue abandonnée, glaciale et miséreuse, à la lisière de la vie et du reste, du rationnel et de l’absurde. La fumée grisâtre finit de s’échapper du canon usé de l’arme ; étendu sur le sol, Frédérique Abberline âgé de dix-neuf ans venait de se tirer une balle dans la tête. La main du jeune homme était encore cramponnée à la crosse du pistolet. Une marre de sang se dessina alors sous sa tête en imbibant ses cheveux bruns d’un liquide tiède et sirupeux. A peine plus tard, un éclair inonda la pièce d’une lumière crue et vive, immédiatement suivi d’un roulement de tonnerre magistral ; l’orage éclata et, quelques instants plus tard, le déluge s’abattit sur New York.

    La nuit vint… puis le matin.

    Les morceaux du miroir brisé étaient maintenant répandus sur le carrelage et l’ampoule avait cessé de vaciller. L’odeur de poudre s’était évanouie. Dehors, le monde s’était remis à vivre, imperturbable. L’orage était mort au petit matin et, le soleil, bien qu’obstrué par un gros nuage sombre, diffusait une douce lumière qui se reflétait sur les façades miroitantes des immeubles de Manhattan. Si on avait demandé aux passants, quinze étages plus bas, d’expliquer ce qui avait bien pu arriver à Frédéric la veille au soir, il est probable que personne n’ait été en mesure de trouver une réponse. Certains auraient dit que sa vie ne lui convenait pas et il se serait offert la liberté, d’autres auraient avancé diverses hypothèses plus ou moins intéressantes, mais la plupart n’en auraient rien eu à foutre. Tout le monde se moquait bien de tout le monde. Frederic Abberline, était seul, à présent. Il n’avait plus de contact avec ses parents, de même avec son frère. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il est né dans la mauvaise famille. Lui, d’un naturel si gentil et pacifiste a atterri dans ce qui lui a toujours semblé être une maison de fous. Du moins pour ce qui en est des parents. Puis, le jeune adolescent avait fait la connaissance de Charlotte et sa vie avait pris un nouveau départ. Cette jeune femme si douce avait su l'affranchir de son douloureux vécu et lui montrer les charmes de la vie. Adieu le petit garçon solitaire, assit au fond de la classe, levant timidement la main pour donner une réponse dont personne ne se souciera ; et qui, pense déjà avec horreur aux coups qu'il recevra ce soir par un père ivre qui noit ses désillusions dans l'alcool.

    Frédéric avait ouvert les yeux et fixait maintenant l’ampoule luisante au plafond d’un air apathique et incrédule, ampoule dont la lumière froide lui transperçait les yeux. Ses autres sens s’étaient tour à tour aussi réveillés. Ainsi, il pouvait sentir sous son corps courbaturé le sol froid et humide qui lui avait servi de lit la nuit précédente. Ses oreilles bourdonnaient, mais il arrivait tout de même à distinguer les bruits alentours qui lui semblaient pourtant si lointains. Fréderic essaya en vain de se lever. Il était frigorifié et son corps douloureux le suppliait de le soulager. Il s’aperçu alors, en tournant la tête, l’arme qu’il tenait fermement, comme si les muscles de ses doigts engourdis étaient restés contractés dans un spasme permanent. Il la lâcha tant bien que mal et le métal percuta le carrelage à deux reprises avant de s’immobiliser complètement. Il commençait à ressentir son corps auparavant sclérosé, quand il sentit ses cheveux tièdes et humides. Il peina à y passer sa main et lorsqu’il y parvint enfin, un filet de sang coula alors le long de ses doigts. Il sentit également les bouts de verre mélangé au liquide ; certains étaient incrustés dans son cuir chevelu, d’autres en tombèrent et le reste était éparpillé par terre, collés au sang qui avait séché pendant la nuit. Il finit par se relever complètement et s’assit lourdement sur le bord de la baignoire à l’agonie. Il avait mal au crâne, comme au lendemain d’une cuite salvatrice et solitaire. Il esquissa un sourire crispé en se souvenant de la bouteille de whisky bon marché qu’il avait vidé seul et son sourire disparut lorsqu’il se souvint qu’il avait pressé la détente de l’arme plaquée contre sa tempe quelques instants plus tard. Il se demanda alors pourquoi son cœur battait encore alors qu’il eut voulut mourir. Pourquoi avait-il survécu à une balle dans la tête alors que sa bien aimée avait succombé suite à une malencontreuse chute dans l’escalier. Pourquoi ne pouvait-il pas aller la rejoindre… Frederic se leva et fouilla dans l’armoire à pharmacie à la recherche d’aspirine. Il ne trouva qu’un flacon d’antalgique aux deux tiers vide, tant pis se dit-il, cela fera l’affaire. Il avala les pilules d’un seul coup et prit une gorgée d’eau qui lui laissa un sale goût amer au fond de la gorge. En allant vers le séjour, il se baissa mollement et prit le pistolet. Il ne changerait pas d’avis, il irait la rejoindre. Hier, il avait raté son coup, la balle n’avait fait que effleurer l’arrière de sa tête pour terminer sa course contre le miroir de la salle de bain. Cette fois-ci, il était sobre et ses gestes seraient bien conduits. Lentement, Frederic amenan la gâchette du pistolet contre sa tempe…

    ... « Ne fais pas ça Fred… je suis là... »


    ~ Fin du Flash Back

    « Je suis là Fred... fais attention mon cœur, il ne te reste plus que 22 minutes… »

    Précédemment, le jeune homme c’était réveillé au milieu d’une salle vide, dans ce manoir auquel Charlotte lui avait commandé de rejoindre. Ce qui, s’était empressé de faire. Il ne peut refuser quoique ce soit à sa belle… après ce qu’il lui a fait c’est la moindre des choses. Et puis, il craint trop qu’elle ne s’en aille. Le jeune homme considère la pièce dans laquelle il se trouve. Soudain, son pied heurte quelque chose au sol et manque de le faire tomber. Doucement, Frédéric se baisse et ramasse l’objet en question. C’est un couteau, ensanglanté. Le sang est encore rouge vif, témoignage d’un forfait récemment accompli.

    Le sang, un filet de sang qui coule le long de sa belle chevelure rousse et qui peu à peu étend son empire sur le carrelage. Jamais plus la belle ne se réveillera et ce, entièrement par sa faute. Il n’aurait jamais du hausser le ton. Il n’aurait jamais du la secouer par les épaules. Un accident est très vite arrivé. Cela n’avait pas manqué. Il revoit son corps roulé dans l’escalier et finir sa course au bas des marches. Jamais plus elle ne se relèvera. Jamais plus. Il a eu beau pleurer et crier tant et tant , cela n’avait rien changé.

    « 20 minutes mon cœur… dépêche-toi ! »

    « Qu’est ce que je dois faire !? »

    « Réfléchis, et vite ! Tu ne vas tout de même pas laisser cette bombe t’éclater la cervelle… tu ne voudrais-pas me faire mourir une seconde fois, n’est ce pas Fred ? »

    « Non, bien sûr que non… »


    Alors, vivement le jeune homme examina la pièce, la main droite sur le mur il essayait d’en délimiter ses contours. Bientot, il en avait fait le tour, mais n'avait repéré aucune issue.


Dernière édition par Frederic Abberline le Ven 24 Juil - 15:44, édité 30 fois
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MessageSujet: Re: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyJeu 2 Juil - 22:38

    Bienvenue sur le forum ! =)

    Jonathan Kroppmann, mais soit béni mon enfant ! Excellent choix de predef' ! =)

    J'ai hâte de voir que ça va donner. Fais-moi signe si les objets ne t'inspirent pas, je suis pas sûr de t'avoir vraiment gâté...

    Bref, bonne chance pour ta fiche. =)
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MessageSujet: Re: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyJeu 2 Juil - 23:03

Merci Ticky!

Non pas de problème, ça me va très bien!
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MessageSujet: Re: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyJeu 2 Juil - 23:14

Hum... je sais que je ne suis pas validée, mais je me permets tout de même de te souhaiter la bienvenue, et une bonne chance pour ta fiche =)

[HS total : il faut attendre sa validation pour flooder ? J'ai pas trouvé la réponse dans le règlement... merci d'avance ^^]
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MessageSujet: Re: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyJeu 2 Juil - 23:17

    Bien sûr que non, n'hésite pas à nous rejoindre dans le flood. Wink
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MessageSujet: Re: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyVen 24 Juil - 15:33


    « 18 minutes… »

    Il fallait faire vite. Dans sa main gauche, Frédéric tenait fermement le couteau ensanglanté et tentait tant bien que mal de lui trouver une utilité. Doucement il se rapprocha de la bombe. Après-tout il pourrait essayé… il avait déjà vu faire dans cette série policière que regardait Charlotte. Sûr ce n’était pas la même chose que de voir faire et de faire sois-même mais la situation ne permettait pas ce genre de raisonnement. Il fallait qu’il tente sa chance ou qu’il laisse la bombe explosait, ce qui bien sûr n’était pas concevable. Frédéric s’accroupit auprès de la bombe, les yeux fixés sur la détonateur qui annonçait qu’il ne lui restait plus que 16 minutes 44-43-42 avant l’échéance fatale. Minutieusement il entreprit la périlleuse manœuvre. A l’aide du couteau il parvint à ouvrir la bombe au bout de quelques minutes. Des minutes de trop. Des minutes de moins sur le conteur. Des minutes de moins à vivre, qu’il ne rattraperait jamais et qui serait peut-être les dernières qu’il aurait à vivre. Devant lui, deux fils. Un rouge, un bleu. Eternel dilemme des films d’action dans lequel le valeureux héros après un instant d’hésitation et dans un suspens effréné sectionne au péril de sa vie un des deux films ; bien sûr ce sera le bon. Mais la situation présente ne relevait pas de la fiction et Frédéric n’était pas un héros mystique. Il ne lui restait plus que 7 minutes… il n’avait pas le temps de réfléchir et de toute manière, il le savait la réflexion n’était pas de mise ici, c’était le hasard qui allait décider de son sort. Nerveusement, il glissa son couteau sous le fil rouge.

    « Non le bleu… »

    « Tu es certaine ? »

    « Douterais-tu de moi… ? »

    « Je te fais confiance… »

    Sur les conseils de Charlotte, Frédéric plaça son couteau sous le fil bleu et le sectionna. Le conteur qui affichait maintenant 5 minutes découla les secondes de plus en plus rapidement. Il n’avait pas coupé le bon fil. Précipitamment le jeune homme se releva et s’éloigna le plus possible de la bombe. Il prit sa tête entre ses bras, comme si il eut voulu la protéger, elle qui avait élu domicile dans sa tête.

    « Excuse-moi Charlotte… »

    Des larmes coulaient à présent le long de ses joues. Il allait mourir, cela signifiait qu’il allait disparaître et par la même occasion elle disparaîtrait. Il avait eut une seconde chance et une fois de plus il allait la faire sombrer. Soudain, une musique foraine se fit entendre dans la pièce. Doucement Frédéric releva la tête. 00 :00, le temps s’était écoulé et la bombe crachait des confettis.

    « Comment as-tu su ?! »

    « Ecoute-moi Fred… tu dois toujours m’écouter, tu me dois bien ça. »

    « Oui, naturellement… tout ce que tu voudras. »

    « Tout ? »

    « Tout ! »

    C’est alors qu’une porte aveugle s’ouvrit dans le fond de la pièce. Le jeune homme s’y dirigea et sortit. Il n’avait pas remarqué le pendentif en forme de croix, proche de la bombe. Qu’importe, de toute façon il ne croit pas en Dieu… il ne croit qu’en Elle. Définitivement.


      BEHIND THE COMPUTER ;

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      COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Avec l'aide de Bruce Willis.
      AVATAR DU PERSONNAGE : Jonathan Kroppmann
      COMMENTAIRES, QUESTIONS OU SUGGESTIONS ? Pouet.



Dernière édition par Frederic Abberline le Ven 24 Juil - 15:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyVen 24 Juil - 15:50

J'ai fini! Ticky tu peux lire ce truc inintéressant.

J'ai pas dis grand-chose sur l'enfance, mais c'est pour laisser Tom faire comme il veut sur les parents et sur lui-même. Voilà.

J'espère être validé Razz
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MessageSujet: Re: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyVen 24 Juil - 15:57

Très belle fiche, vraiment. Juste ce qu'il faut, et c'est si bien écrit.

Le flash-back est vraiment magnifique. Et j'aime tellement ce personnage, j'adore ce que t'en as fait.

Bref, validée avec grand plaisir. Tu files au deuxième étage. Bon jeu. =)
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MessageSujet: Re: La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C]   La vie n'est qu'un avant goût de la mort... [U.C] EmptyVen 24 Juil - 16:02

Oh ouais trop bien! =) Merciii !

Je te squatte ton deuxième étage! Niark Razz
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