Clowns Are NOT Funny !
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 phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.

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Phillis Maronski

Phillis Maronski


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MessageSujet: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 15 Jan - 1:20

phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. Victoriyasasonkina
LIVE OR DIE, MAKE YOUR CHOICE. LET THE GAME BEGIN ;

    ARE YOU LUCKY ? : Un chaton lunatique.

    HURRY UP, TIME IS RUNNING OUT :

    Sais-tu qu'il n'y a aucun trésor à trouver entre mes bras ? Je fixe ton regard une dernière fois. Tu hantes mes nuits comme tu as jadis hanté mon enfance. Mes membres ne répondent plus, je ne suis plus maître de mes mouvements ; comme toujours face à toi, j'hésite. Il y a ce goût de sang sur mon palais, celui-là même qui s'écoule entre mes jambes ; je la sens la souillure, les cicatrices que tu y as laissé, je connais leur positionnement exact, pauvre petite fille écorchée vive. J'aimerais te cracher au visage, te hurler ma haine, mais tu sais comme moi que je ne le peux pas, et tu ris aux éclats. Je sais qu'il faut que je me réveille, que le monde réel m'appelle, que je dois rejoindre mon présent, mais je suis figée sur place. Je n'ai jamais réussi à t'échapper. Qui est-ce que je berne quand je prétends que j'ai tourné la page ? C'est toi qui me dicte chacun de mes choix. Je ne connais que trop bien le son de ta voix, elle résonne en moi à chaque minute, à chaque seconde, elle m'étouffe et me crève, même de derrière les barreaux ton travail tu l'achèves. Tu as marqué ma chair au fer rouge, tu as marqué mon esprit par ta tyrannie. Mon père, mon bourreau. J'aurais aimé savoir pourquoi, mais il me semble que même toi tu ne le sais pas. Alors je continue de vivre dans l'ignorance, avec ça sur la conscience ; et on me regarde toujours comme si j'étais demeurée cette pauvre enfant, comme au jour où la vérité a éclaté, si tu pouvais la voir leur pitié ; ils me font gerber car ils me rappellent tes excès. Sa main m'approche et je hurle, je hurle à la fin de ce cauchemar, je hurle mon désespoir.

    Mon cri résonne encore entre les murs de cet endroit que je ne connais pas. Sur le coup, nouée par l'angoisse qui m'agrippe les tripes, mon coeur qui bat à deux cents à l'heure et la rage qui prend possession de moi, je ne réalise pas. Instinctivement, comme à chaque fois, je ramène mes jambes auprès de ma poitrine alors que les larmes envahissent ma face fiévreuse, mon corps encore remué par ce songe agité, le même que chaque nuit, qu'à chaque fois que je m'assoupis. J'entends un miaulement, un chat qui bondit, la crise qui monte alors que mes yeux noyés s'allient désespérément à ma mémoire afin de résoudre le mystère associé à mon environnement. Il y a ces secousses qui font trembler mon monde, réalité alternée par mes paupières enflammées, il y a ma respiration saccadée, l'air venant à me manquer, mes dents qui s'entrechoquent, entamant une musique macabre. L'envie de mourir qui s'immisce, l'idée de fin qui s'impose à mon esprit ; le chaos, la destruction, et moi, pauvre chose en proie avec ses démons. C'est toujours la même rengaine, le médecin dit qu'il n'y peut rien, que c'est sûrement lié à ma vie, il emplit mes tiroirs d'antidépresseurs et d'anxiolytiques, pensant peut-être que je vais toucher à des merdes pareilles. Quand il me demande si je suis bien mon traitement, je hoche la tête, même si je ne prends que mes somnifères. Je crois qu'il sait que je mens, mais il est las. Las de se battre avec moi.

    J'entends enfin le décompte, sitôt ma crise quelque peu apaisée, et il m'agace tant que ça m'oblige à relever la tête. J'étais persuadée que c'était une horloge, l'une de ces vieilles horloges de grand-mère qui me rendent totalement folle, avec leur lourd pendule et leur rythme éternellement semblable. Mais les chiffres rouges qui s'affichent, allant en sens inverse à la normale m'inquiètent. Tu voulais mourir, Phillis ? C'est l'heure. Applaudissez, c'est mon heure de gloire. On a creusé ma tombe, on m'a condamné. Cela ne devait-il pas arriver ?

    J'ai toujours trouvé étrange que le stress accélère ma vitesse de réflexion quand il est censé nous faire perdre nos moyens. Là, seule face à un châton blanc dont j'ignore la provenance, je me rends compte que j'y suis sûrement. Au coeur de ce jeu mystérieux pour lequel j'avais postulé. Ce n'était pas mon genre, de me proposer. Je suis plutôt du genre à rester lovée dans mon cocon, bien au chaud, loin des inconnus et de l'agitation. Je laisse mes ténèbres s'emparer de moi, je me laisse crever à petit feu, je n'emmerde personne et en retour on ne me demande rien. La solitude me ronge, mais j'ai prié pour qu'elle m'abrite sous son aile ; l'enfer m'attire mais me répète que ce n'est pas mon heure. "Tu es trop lâche pour le faire, Phillis. Pourquoi irais-tu là-bas ? Pourquoi quitterais-tu ton confort pour te retrouver au milieu d'inconnus, dans un endroit dont tu ne sais rien ? Ca pourrait être un psychopathe, qui sait, n'en as-tu pas eu ta dose ?" C'est ta voix, tu vois ? Elle ne me lâche pas. J'ai beau me débattre elle répète son discours en boucle, et je deviens folle. Formatée. Tu m'as construite de toutes pièces, faite telle que tu voulais que je sois. Suffisamment faible pour me plier au moindre de tes caprices. Et le sang qui s'écoule, et tes grognements rauques, et mes pleurs, mes pleurs, qui inondent mes draps. Si je n'y étais pas allée, ç'aurait été pour toi, te donnant raison, et si je suis là, c'est encore pour toi, pour te donner tort. Mon psy m'a dit que c'était une bonne chose, que je me sois inscrite, que j'aie pris cette initiative. Selon lui, c'est le signe "que je me détache progressivement de la vision que tu m'as projeté de moi-même". Je n'en suis pas sûre, mais j'ai acquiescé. Qu'importe, après tout ?

    Le chaton vient se frotter à moi. Il semble réclamer une caresse, tremblant sur ses courtes pattes, mais je me contente de lui renvoyer mon regard froid. Vide. Tu sais qu'on va mourir tous les deux ici ? Je n'ai plus la force de me battre. Je ne veux pas savoir. Douze minutes ; tic, tac. Ne t'en fais pas, tu ne souffriras pas. C'est juste un gigantesque feu d'artifice, et puis tu rejoindras les autres au paradis. De jolies petites ailes perceront ton pelage. Je fixe la pauvre bête que je condamne en même temps que moi. Ses yeux me fixent et me renvoient mon visage, telles de véritables billes de verre. Je n'ai jamais eu le privilège de faire partie de ces filles devant lesquelles on bave, dont on détaille la beauté en rêvant de leur ressembler. Je n'ai pas un physique banal, certes, mais il serait plutôt bizarre, mes traits étranges forment là un tableau singulier. Un nez retroussé, des lèvres fines, un visage fin. La peau blanche d'un poupon de porcelaine. Les cernes dûe à mes nuits d'insomnie ont marqué mes yeux, la seule chose dont je puisse me vanter, puisque mes pupilles sont ornées d'une douce couleur turquoise. Ma chevelure est aussi sèche que de la paille, et je ne parviens jamais à la dompter. Je suis plutôt grande, si maigre que mes formes semblent disparaître. Il faut dire que j'ai toujours cherché à étouffer ma féminité, et je suppose qu'il est inutile que je disserte sur cela.

    C'est là que je me rends compte que c'est la première fois que je brave cette voix qui résonne en moi. D'un coup, je sens le sang affluer dans mes veines à grands torrents, comme cherchant à redonner vie à ce corps que j'avais décidé de disséminer. Le chaton à mes pieds bondit, le poil hérissé, surpris par ce mouvement brusque quand je me laissais aller à l'inactivité. Dix minutes. Mes doigts se saisissent de la boule de poils qui bataille pour retrouver sa liberté.

    « Chuuut. Maman ne va pas te laisser mourir, tu sais ? Je m'excuse pour cet instant de doute, c'est qu'on n'a pas de grands principes familiaux chez moi. »

    Ses griffes entaillent ma chair mais je n'y prête pas attention. J'ai appris à ne plus ressentir la douleur, à fermer les yeux et à me persuader que le ciel était bleu, qu'il n'y avait personne au-dessus de moi. Et puis après tout, mes poignets sont depuis bien longtemps tailladés. Un enfant entre mes bras. Je laisse la chose s'échapper, atterrir avec souplesse sur le sol dallé. C'est étrange comme j'ai toujours eu peur de tout, sans pour autant ressentir quoique ce soit. J'avais peur du monde, du regard des autres, de l'eau, de l'inconnu, des hommes. Je ne voulais pas qu'on me touche, je ne souhaitais pas qu'on m'ausculte, je me terrais et me contentais de mon jardin secret. Le monde du dehors m'avait toujours terrifié. L'intérieur aussi. Je m'imaginais des fantômes, un criminel qu'il aurait embauché pour me tuer, j'imaginais à chaque fois que le téléphone sonnait, qu'on m'annoncerait qu'il avait été délivré. Je savais qu'un jour, il faudrait que je sorte, que je prenne part à la vie active, que mes indemnités finiraient bien par être épuisées, mais je repoussais toujours celui-ci au lendemain, espérant soudain qu'un déclic se produise. Il était arrivé, enfin, mais la vie à laquelle j'étais destinée semblait dorénavant ne rien avoir à voir avec celle que je m'étais imaginée.

    Mes yeux s'ouvraient sur le néant. Une pièce close, sans porte. L'issue était-elle impossible ? Je ne pouvais m'y résigner. Et le chaton qui tournait en rond, gambadant aussi vite qu'il le pouvait, sans destination.

    « J'ai probablement parlé un peu trop vite... »

    Un saut, deux, à deux opposés. Il semblait aussi fou que moi. Un troisième et il chutait, alors que le bruit produit lors du choc se trouvait être sensiblement différent. Je m'approchais du mur recouvert de tapisserie, et laissais mon poing s'y abattre, avec une force que je ne soupçonnais pas. Et c'est là que je la sentis, la douleur. Mon hurlement déchira cet air que je respirais encore et encore. J'aurais tout aussi bien pu crever d'asphyxie. Ma main avait traversé le papier pour se déchirer dans ce trou que je ne parvenais pas à apercevoir alors que mon poignet y demeurait. Je pariais sur les barbelés. Ils me lacéraient la peau, s'ancraient dans ma chair. A l'aide de mes incisives, je mordis ma lèvre inférieure afin d'étouffer ceux qui suivraient. Souffrance omniprésente. C'est drôle, elle me poursuit ; partout où je suis. Mes ongles vinrent retirer les lambeaux de tapisserie qui gisaient autour de ma plaie. Je déblayais mon champ de vision. Quand cela fût fait, il fallu dégager progressivement ma main de l'orifice, évitant les fils de fer qui avaient décidé de faire de mon membre de la charpie. J'observe enfin cette oeuvre ensanglantée. Les blessures d'antan se sont rouvertes, comme pour me rappeler au passé. Ce temps où je pensais ne pas pouvoir me relever. Est-ce présomptueux que de vouloir m'échapper de la cage que l'on m'a offerte ? Retrouverais-je le dehors après cela ? Non, ce n'est pas la seule étape, n'est-ce pas ?

    L'image revient, violente, s'emparant de moi. Mes poings liés, ce regard qui me terrifie, sa démarche lente, comme s'il voulait graver en sa mémoire mes traits déformés par l'effroi. Mes jambes perdent la force accumulée, je m'effondre sur le sol froid et porte à ma tête vrombissante mes mains. Le sang recouvre une partie de ma chevelure, alors qu'il ne cesse de s'extraire de mes veines. Bientôt, j'en serai vidée. Je dois être belle, comme ça, un vrai zombie, cadavre ambulant. Lentement, je me relève ; à croire que je ne fais que ça. Mon regard se porte sur l'ouverture. Je ne sais pas si je parviendrai à me glisser dedans tant c'est étroit. Je remonte vers elle l'étalage de viande rouge qui me sert de main. Ca fera un beau festin. M'y reprenant plusieurs fois, je tire sur ma manche afin de m'en faire un pansement, et une protection pour ce que je vais avoir à faire. Ca a l'air toujours super facile dans les films, mais si nos fringues se déchiraient si facilement que ça, ça se saurait. Bref, j'enrubanne ma main dans le tissu qui est de toute manière déjà ensanglanté. Mon délabrement charnel a de quoi faire jalouser les films d'horreur. Tout doucement, alors que la morsure persiste, je me charge de tordre le barbelé jusqu'à pouvoir le retirer.

    Derrière moi, le chaton miaule. Je l'agrippe et le fait passer par l'ouverture en premier. Il fera un bon éclaireur ; il n'y a plus qu'à prier pour qu'il ne finisse pas en charpie - qui sait encore ce que ce malade nous réserve ? Mais la bête n'a pas l'air de vouloir se bouger. Elle renifle le sol de terre, et j'espère que ce n'est pas pour y faire ses besoins.

    « Allez le chat, bouge de là. Avance ! »

    Mais il semble se manquer totalement de mes invectives. Il gratte et je me prends des traînées de terre en plein visage. Je m'écarte, et c'est là que la question m'effleure l'esprit : pourquoi un sol de terre ? Et si... Je rejoins le félin dans sa tâche. Mes ongles - que j'aime à laisser pousser sans pour autant les faire passer par la case manucure - se chargent d'en retirer une partie. J'y joins mes paumes, et remarque que le fond n'est pas si près que cela. Un regard derrière moi. Cinq minutes. Aïe. Ce connard a joint du gravier à la terre, et je ressort mon autre main elle aussi entaillée, bien que ce ne soit que des blessures superflues. La seconde me tiraille, et je me vois obligée de la laisser au repos. Mes lèvres s'agitent, je m'encourage moi-même, le chat et moi. Il semble tout heureux avec son nouveau jeu. Il le balance dans ma direction, mais je n'en ai plus grand-chose à faire. Enfin, je parviens à percer la masse compacte de terre. Mon coeur s'emballe, c'est presque trop beau pour être vrai.

    « On a réussi, on a réussi ! »

    Une minute douze secondes. J'y vais à la barbare pour dégager les alentours. Je me hisse à l'intérieur, et me laisse glisser dans le toboggan de fer qu'on m'a dédié, mon ami tout chaud entre mes doigts rougis.


BEHIND THE COMPUTER ;

    AGE : dix-sept ans
    SEXE : féminin
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? il y a un moment déjà, j'étais tombée dessus et avait longuement hésité à m'inscrire, gardant l'onglet sur le côté... avec la pub sur bazzart, j'ai fini par craquer ♥️
    AVATAR DU PERSONNAGE : Victoriya Sasonkina
    COMMENTAIRES, QUESTIONS OU SUGGESTIONS ? j'adhère totalement au design et le contexte est une mine d'or pour tout esprit quelque peu tordu... enfin bref, j'adore (l)


Dernière édition par Phillis Maronski le Ven 22 Jan - 0:11, édité 11 fois
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Lust B. Bremen

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Topic : 2/3
Ticky ? : You're my master !

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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 15 Jan - 1:30

Bienvenue sur le forum,
Content de t'avoir finalement convaincu. =)

Intéressant, le choix d'avatar.
Je ne la connaissais pas.

Si l'objet (enfin, façon de parler), ne t'inspires pas, on peut le changer.
Je dois avouer que plus ça va, moins je sais où je vais les chercher. clown

Sur ce, bonne chance pour la suite ! (:
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Phillis Maronski

Phillis Maronski


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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 15 Jan - 2:24

    Et moi de m'être laissée convaincre :p

    Elle se fait un nom progressivement, mais elle n'est pas encore imposée dans l'impitoyable monde de la mode pour autant x) enfin bon, elle fait un peu psychopathe sur le shoot que j'ai choisi.
    Et moi j'ai failli faore un infarctus en voyant Josh B. Gosh, je n'espèrais même plus le voir sur un rpg un jour. Ce mec a une classe folle.

    Alors là carrément pas, j'adore mon objet (l)
    - je peux comprendre qu'au bout d'un moment ça devienne limité...
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Frederic Abberline

Frederic Abberline


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Topic : O1 / O2
Ticky ? : You suck !

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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 15 Jan - 17:10

Bienvenue sur le forum !

Bonne chance pour ta fiche Wink
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Yukii Tsukushi
    Bloody's Dolls

Yukii Tsukushi


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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 15 Jan - 20:21

Bienvenue !!
Ton avatar est intéressant ... Jouer avec toi .. Mais avec plaisir !! A quoi veux tu jouer ma petite poupée ?
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Phillis Maronski

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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 15 Jan - 21:10

    Merci Frederic ♥️

    Yukii ♥️ Si je dévoile tout tout de suite le jeu perd toute sa saveur (a)
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Phillis Maronski

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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 22 Jan - 0:11

    Présentation terminée. ♥️
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Topic : 2/3
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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 22 Jan - 15:34

Magnifique. J'adore ta façon d'écrire, ton histoire, ton personnage.
Son côté perdu, égaré dans son propre monde vaudra à Phillis une place toute chaude au troisième étage.

Hésite pas à te promener partout sur le forum, à demander des RP's, investir le flood, et autres... Wink

Fiche validée, déjà hâte de te lire en RP.
Have fun ! clown
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Phillis Maronski

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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. EmptyVen 22 Jan - 15:39

    Oh, contente que ça t'aie plu I love you Je doutais un peu vu qu'il y a des passages que je ne parvenais pas à décrire comme je l'aurai voulu.

    C'est ce que je vais faire ; merci ♥️
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MessageSujet: Re: phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc.   phillis maronski · douce brebis piégée au milieu des loups. uc. Empty

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