Clowns Are NOT Funny !
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

 

 L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Invité
Invité




L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. EmptyMar 23 Juin - 19:58

LIVE OR DIE, MAKE YOUR CHOICE. LET THE GAME BEGIN ;

    ARE YOU LUCKY ? : Un oiseau turbulent qui sait manifestement où se trouve la sortie.

    HURRY UP, TIME IS RUNNING OUT : Cela faisait quelques minutes que Stella avait repris connaissance. Quelques minutes qu'elle avait passées à tenter de deviner ce qui l'attendait dans cette salle fraîche, humide, lugubre. Assise contre un mur, es yeux clos, un petit sourire aux lèvres, elle effeuillait dans sa tête toutes les possibilités, puis les réfutait aussitôt, comme on arrache les pétales d'une pâquerette l'un après l'autre.
    Ce jeu de devinettes malsain prit fin rapidement, Stella est du genre à se lasser très vite. Tout excitée, elle se leva d'un bond vif et ouvrit tout grands ses yeux bruns.

    « Une bombe ? »

    Elle se serait attendue à tout sauf à ça, mais n'en perdit pas pour autant son mince sourire enfantin et mutin. Après tout, c'était une expérience nouvelle, et, par conséquent, tout à fait plaisante. Elle s'approcha du boîtier noir et considéra d'un œil distrait les chiffres rouge sang qui défilaient à toute vitesse sur le cadran.

    «48 minutes et 24, 23, 22 secondes»

    La jeune femme en déduisit qu'il lui restait encore un bon bout de temps pour désactiver le système meurtrier. Inutile de se presser. De toute manière, dans les contes de fées, la princesse était toujours sauvée de justesse, au dernier moment. Stella en conclut qu'elle n'avait pas besoin de s'inquiéter. Il y aurait bien quelque chevalier pour venir la libérer de cette salle morbide.
    Dix minutes passèrent, durant lesquelles la jolie brune entreprit d'examiner les murs de la pièce à la recherche d'une trappe quelconque, d'une porte invisible. C'était très amusant, un peu comme un inquiétant jeu de piste, une chasse au trésor couronnée d'adrénaline. Soudain, un doux bruissement la fit sursauter, elle qui s'était habituée au fatal silence qui régnait dans la cellule. Elle se retourna d'un bond, alerte, avant d'éclater de rire, un rire agréable et immature, cascade de gaieté enfantine à l'opposé de l'ambiance macabre du prétendu tombeau.

    «Salut, toi.»

    Abandonnant ses recherches, elle s'approcha de l'oiseau coloré qui sautillait sur le sol, inépuisable, en piaillant avec force.

    «Si tu es parvenu à entrer, ça veut dire que je peux réussir à sortir. Dis-moi, mon chou, comment es-tu arrivé ici ? »

    Cela ne la dérangeait pas de parler aux oiseaux. Stella l'avait toujours fait, elle le ferait sans doute toujours. À vrai dire, elle ne se souciait pas de l'avis des autres, le quand dira t-on n'avait eu d'influence sur elle. Elle vivait sa vie, un point c'est tout, et tant pis si ça dérangeait les autres. Elle réagissait comme une enfant ? Et alors ? Elle refusait de grandir, c'était son problème. Depuis plusieurs années, ses parents lui mettaient la pression afin qu'elle prenne enfin ses responsabilités. Cela l'exaspérait au plus haut point.
    Née dans une famille aisée, elle avait -presque- toujours obtenu ce qu'elle désirait. Stella se rendait bien compte à quel point ses parents se démenaient pour lui faire plaisir, elle, la gamine capricieuse et insouciante. Il y avait les jouets à réparer, le hamster à nourrir, les nouvelles robes à acheter, et par-dessus cela les impôts, les factures, le travail. La petite considérait d'un œil distant cette angoissante agitation, en songeant dans son for intérieur que jamais elle ne finirait ainsi. Il était bien plus plaisant de jouer, rire, chanter, danser, de s'amuser plutôt que de s'empêtrer dans ces histoires d'adultes soporifiques. La dépression dans laquelle sombra la mère de la jeune Barthélémy ne fit que la conforter dans son idée : mieux valait ne pas grandir.

    « Hé, calme-toi ! »

    Le petit volatile s'était envolé et fendait désormais les airs à toute vitesse, sur la petite distance qu'offrait la cellule humide. Ses ailes écartées au maximum, il ne représentait qu'une petite envergure, d'une vingtaine de centimètres seulement. Cependant, sa finesse lui conférait une certaine élégance, et l'oiseau aurait plus eu sa place dans un ballet gracieux que dans cette salle étriquée et malsaine.

    «C'est bien joli, tout ça, mais ça ne me dis pas comment sortir d'ici ? »

    Stella frappait du pied par terre, telle une gamine en colère. En effet, son caractère capricieux n'avait pas évolué au fil du temps. Elle avait conservé son caractère d'enfant, se songeait qu'à s'amuser, côtoyant le moins possible ses parents et leur monde responsable et ennuyeux.
    Il serait difficile de marquer des périodes distinctes dans la vie de Stella. Enfance, préadolescence, adolescence... Tout se succédait sans véritable rupture, dans un fondu ponctué de fêtes et de jeux.

    «24 minutes 7, 6, 5 secondes»

    Stella commençait à se lasser de ce compte à rebours, qu'elle percevait au départ comme le moteur d'un jeu palpitant.

    «Ça suffit maintenant, j'aimerais sortir !»

    Agacée, elle s'alluma une cigarette, s'amusant machinalement à modeler des rondes de fumée avec ses lèvres. Au-dessus d'elle, l'oiseau continuait sa folle course, décrivant tour à tour de larges cercles, des virages serrés, des descentes en piqué, des remontés en chandelle, toujours en piaillant de manière frénétique. La jolie brune se réjouissant de ce divertissant spectacle, et toute notion du danger, dû au compte à rebours qui s'épuisait inexorablement, disparut, laissant place à une exquise et puérile nonchalance.
    Ce n'est que lorsque enfin le gracieux et turbulent volatile se posa non loin d'elle qu'elle quitta cette mortelle insouciance.

    «12 minutes 54, 53, 52 secondes »

    Stella soupira. Elle qui venait ici à la recherche de danger, de divertissement, d'amusement, de jeu ! se retrouvait en face d'une bombe sur le compte à rebours de laquelle s'écoulaient, fades et monotones, les secondes ; le tout accompagné d'un monocorde et horripilant tic-tac. Où se trouvaient donc les clowns, les multiples distractions, l'exaltant manoir qu'on lui avait promis ? Où se cachaient les autres participants ? Elle trépignait d'impatience et refusait de résoudre l'énigme de cette mystérieuse bombe qu'on lui mettait d'autorité sur les bras. Elle n'avait rien demandé ! Tout ce qu'elle désirait, c'était s'enfuir du quotidien, échapper à la routine qui ferait d'elle le sosie de ses rébarbatifs parents, de tous ces adultes qui fuient la fête, les jeux, le divertissement comme la peste pour se jeter dans les bras du Dieu du mortel Ennui. Elle refusait de suivre la même route, s'écartait de ce chemin désespérant à la recherche d'un horizon meilleur.

    Un piaillement hystérique la fit revenir à la réalité. L'oiseau qui lui tenait compagnie depuis trois quart d'heure s'était perché sur la cadran du compte à rebours en sautillant.

    «8 minutes 5, 4, 3 secondes»

    Comment faire pour sortir d'ici ? Les rouages de son cerveau d'enfant s'engrenaient, s'agitaient, pirouettaient dans un sens, puis dans l'autre. Elle considéra l'oiseau d'un regard réfléchi, puis les fils rouges et noirs qui reliaient le cadran à la bombe, ou de moins ce qui y ressemblait fortement. Ce fut l'illumination. Diable, comment avait-elle pu ne pas y avoir pensé plus tôt ? La solution lui parut soudain enfantine. Enfantine. Oui, c'est le mot.
    Elle écrasa sa cigarette contre le mur, puis s'approcha à pas lents du volatile coloré. Ses lèvres s'étirèrent en un grand sourire espiègle. L'oiseau la fixait, les yeux brillants. Elle prit une grande inspiration puis se jeta en avant. L'animal poussa un petit cri aigu, puis déploya ses ailes. En un mouvement vif et précis, Stella l'attrapa bien fermement, rabattant les membres du volatile contre son corps fragile. Elle qui avait toujours aimé les oiseaux, symbole de l'insouciance et de la liberté, prit bien garde de ne pas le blesser, le sentant tendu et crispé. Elle s'accroupit près du boîtier du compte à rebours, et plaça le volatile juste devant les fils qui le reliait à la bombe. Intrigué par tous ces filaments colorés, il s'en approcha, bien que toujours maintenu par la jeune femme. Au terme de quelques secondes de découverte ludique, il trancha les fils de son bec pointu avec un piaillement joyeux. La jeune Barthélémy serra les dents. Elle redoutait un accident au contact de l'électricité ; mais il n'en fut rien. Soulagé, elle considéra d'un regard rapide l'écran du compte à rebours. Comme elle l'avait prévu, les chiffres rouges et lumineux avaient disparus. Un doute angoissant la saisit alors. Elle avait certes désactivé le compte à rebours, mais pas la bombe, qui pouvait désormais éclater à tout instant. Alarmé, elle se saisit de l'explosif. Il n'était pas bien lourd. Dans un réflexe salvateur, elle arracha un bouton de sa veste, bien que cela lui brisât le cœur, et, à l'aide du fil fin qui le retenait au tissu, attacha la bombe aux serres de son compagnon de galère.

    «Tu m'as tout l'air de savoir où est la sortie, mon ami. Après tout, tu as bien dû arriver par une fenêtre bien cachée, un passage secret ou une trappe, qu'en sais-je ! Allez, vole, et vire moi cette saloperie, mon chou ! »

    Libérant le volatile de son emprise, elle le laissa s'envoler. Il tituba quelque peu, déconcerté par le poids de l'explosif, mais se rééquilibra bien vite. Perplexe, Stella le vit alors décrire à nouveau de nombreuses figures pour le moins originales.

    «Arrête ça tout de suite, imbécile ! On va y passer tous les deux, si tu continues !»

    Exaspérée, elle ramassa son paquet de cigarettes qui trônait à terre. Lorsqu'elle releva la tête, l'oiseau avait disparu. Soudain, le bruit lointain d'une explosion lui parvint. Elle grimaça, ignorant si son compagnon à plumes avait survécu à la déflagration. Elle ne le saurait sans doute jamais.
    Tout à coup, un bruit sourd la fit sursauter ; elle se retourna vivement. Un pan de mur venait de s'écrouler. Stella esquissa un sourire fier. Elle avait réussi. Elle s'apprêtait à quitter la salle sordide lorsque son pied buta contre un petit objet, inidentifiable au premier coup d'œil. Elle se pencha pour le ramasser, intriguée. C'était un minuscule magnétophone. Elle enclencha l'enregistrement.


    « Bienvenue dans mon manoir. Tu ne me connais pas, et cela n'a aucune importance car moi, je te connais. On va jouer à un jeu et tu sais ce qu'il se passera si tu perds ? La bombe qui se trouve en face de toi explosera, et je suppose que tu comprends qu'il vaudrait mieux que cela n'arrive pas. Comment t'en sortir ? A toi de le découvrir. Regarde autour de toi, tu sais que je ne mens pas. Le compteur tourne, tu ferais mieux de te dépêcher. Qu'es-tu prêt à faire pour rester en vie ? Vivre ou mourir, il faut choisir. Le jeu peut commencer. »



    Stella éclata de rire. Un rire franc, cristallin, espiègle. Un rire enfantin qui se déversa dans la cellule malsaine tandis qu'elle enjambait avec grâce et satisfaction les décombres du mur en ruine, quittant l'ombre pour la lumière. C'était du moins ce qu'elle croyait.



BEHIND THE COMPUTER ;

    AGE : Je le dis tout de suite, j'ai 14 ans. Et pas 15 T.T . Mais le forum avait l'air tellement bien... C'est très difficile de résister à la tentation de s'inscrire, dans ces cas-là. Enfin, je vous laisse juger par vous mêmes quant à ma qualité d'écriture, et on verra bien. Si ça passe, tant mieux, si ça casse... Tant pis D:
    SEXE : F
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? par un partenariat avec Longtime Sunshine
    AVATAR DU PERSONNAGE : Irina Lazareanu (l)
    COMMENTAIRES, QUESTIONS OU SUGGESTIONS ? Nope


Dernière édition par Stella L. Barthélémy le Ven 26 Juin - 16:07, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
Ticky, The Clown
    Tu veux jouer avec moi ?

Ticky, The Clown


Tickyness : 635


L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: Re: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. EmptyMar 23 Juin - 23:15

    Bienvenue sur le forum ! =)

    Concrétement, l'âge importe peu. L'avertissement pour les moins de 15 ans, c'est juste histoire de montrer qu'il faut une certaine maturité pour ne pas être choqué par ce qui peut se passer dans les RP's, et qu'un bon niveau d'écriture est demandée. Si c'est ton cas, tu n'as aucun souci à te faire. Wink

    Bref, bonne chance pour ta fiche, j'ai hâte de voir ça.

    Fais-moi signe si l'objet ne t'inspire vraiment pas.
Revenir en haut Aller en bas
https://clowns-are-not-funny.forumactif.com
Invité
Invité




L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: Re: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. EmptyMer 24 Juin - 9:48

    Pas de soucis, l'objet est génial (l) ; j'ai déjà plein d'idées =D
Revenir en haut Aller en bas
Kaemon Yamaguchi

Kaemon Yamaguchi


Tickyness : 642

Topic : 3/3
Ticky ? : You suck !

L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: Re: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. EmptyMer 24 Juin - 11:04

Welcome miss! =)
Bon courage pour ta fiche Wink

*Original, j'avoue!*
Revenir en haut Aller en bas
Anouk R. Ridgeway

Anouk R. Ridgeway


Tickyness : 619

Topic : BUSY
Ticky ? : You're my master !

L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: Re: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. EmptyMer 24 Juin - 12:22

Bienvenue ici ^.^
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: Re: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. EmptyVen 26 Juin - 15:39

    Merci à vous =D

    Pour information, j'ai terminé ma fiche ! J'espère qu'elle conviendra >.<
Revenir en haut Aller en bas
Ticky, The Clown
    Tu veux jouer avec moi ?

Ticky, The Clown


Tickyness : 635


L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: Re: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. EmptyVen 26 Juin - 15:58

    J'ai repéré des fautes, mais rien de bien méchant. Et c'est bien écrit, ce qui est le plus important.

    Bref, fiche validée ! =)

    J'envoies évidemment cette Stella au troisième étage. Tu peux aller faire ta fiche dans la parti scénario et commencer à RP.

    Bon jeu ! Wink
Revenir en haut Aller en bas
https://clowns-are-not-funny.forumactif.com
Invité
Invité




L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: Re: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. EmptyVen 26 Juin - 16:05

    Han, génial (L)

    Merci beaucoup Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty
MessageSujet: Re: L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.   L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse : c'est ne rien savoir et pouvoir tout faire.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» onésime •• lorsqu'on a plus rien à perdre, on a tout à gagner.
» znc ♦ le coup le plus rusé que le diable ait réussi, c'est de convaincre tout le monde qu'il existe pas.
» Laissez faire l'artiste. - Dulcinée
» Gaby, l'ami des tout petits...
» Nan, sérieux... tout ça pour ça ?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Clowns Are NOT Funny ! :: Get Ready to Die ! :: Game Over :: Try Again ?-
Sauter vers: